Pour les graffeurs, les blackbooks étaient plus que de simples carnets de croquis. Avant l’avènement de la photographie numérique, les blackbooks étaient un moyen de présenter des idées à d’autres écrivains. Ces blackbook étaient transmis entre des personnes qui marquaient les pages de leurs lettrages et b-boys respectifs. Tout comme un annuaire visuel, les graffiti sketchbook devenaient emblématiques de la personne que le propriétaire avait rencontrée, de l’équipe à laquelle il appartenait et de la réputation du graffeur.
Les types de carnets de croquis sont très variés et cela dépend beaucoup des goûts de chacun puisqu’on peut acheter des carnets déjà réalisés (il y a beaucoup de gens qui font et vendent des carnets de croquis à la demande) et/ou on peut en faire un personnalisé. Du type de papier, de la colle, de la couleur, de la taille, de la quantité de feuilles, etc. Ils sont pratiques et confortables à emporter avec vous où que vous alliez, contrairement aux planches à dessin ou aux feuilles volantes qui sont généralement plus grandes, encombrantes ou finissent par se plier au fond de notre sac à dos.
Personnellement, j’aime ceux qui sont d’une épaisseur moyenne et qui ont la taille d’une demi lettre, j’en ai acheté plusieurs dans des papeteries spécialisées dans le papier qui viennent assembler des carnets de croquis avec les restes de leurs découpes. Ils sont très abordables et de bonne qualité.
Sketch de Ces
Tu trouvera des idées dans l’article : Comment choisir son sketchbook